Pour la première fois, le FBI vient d’obtenir un mandat de la Cour Fédérale pour obliger une criminelle à débloquer son iPhone. La femme a été forcée à poser son doigt sur le TouchID du smartphone.
La suspecte, Paytsar Bkhchadzhyan, une habitante de Los Angeles âgée de 29 ans, est en couple avec un membre de gang arménien. Elle a refusé d’obtempérer avec les forces de l’ordre dans le cadre d’une affaire d’usurpation d’identité. Par conséquent, le FBI l’a forcée à débloquer son iPhone en posant son doigt sur le TouchID.
Une différence avec les mots de passe
Le mandat accordé par la Cour Fédérale s’appuie sur une affaire datée de 2014 dans laquelle un juge de la Virginia District Court a déclaré que les empreintes digitales, contrairement aux mots de passe, ne sont pas protégées par le cinquième amendement. Cette déclaration n’est pas de l’avis de tous les experts juridiques.
La protection des données à préserver
Actuellement, les empreintes digitales sont considérées par la loi comme des preuves en cas de crime. Pour Susan Brenner, professeur de droit à l’Université de Dayton, cette conception doit changer car les données n’ont pour la plupart pas de rapport avec l’enquête.
Qu’en pensez-vous ?
4 commentaires
Trève de bavardages, tu le prononces comment son prénom à cette criminelle ?
Aux USA si t’écorche son nom elle a moyen de pas être inculpée jsuis sûr
@Yury pwhahahahaha ? ? ? ? tu m’as tué mdrrrr
@Yury Ou sont passés les voyelles putain ??
Mdrrrr forcée à posé son doigt :) « POSE TON DOIGT! POSE TON DOIGT!!! »