L’histoire se répète, comme dans l’affaire de San Bernardino, les poursuites contre Apple ont été abandonnées, le déverrouillage de l’iPhone ayant pu être réalisé. Dans une lettre au juge, le procureur explique qu’il n’a plus besoin de l’aide d’Apple dans cette affaire.
Cette fois la lumière ne serait pas venue de hackers professionnels payés plusieurs centaines de milliers de dollars mais simplement d’une personne qui aurait fourni le code de déverrouillage. Le bon code, qui aurait effectivement permis aux autorités d’accéder au contenu de l’iPhone 5s sans moyens détournés.
Apple refusait jusque là d’intervenir au motif que le ministère de la Justice n’avait pas fournit la preuve que tous les autres moyens connus pour accéder aux données avaient échoué. Dans l’idée de connaître la méthode employée par le FBI sur l’iPhone 5c, la société californienne avait réclamé la preuve que celle-ci n’avait pas fonctionné dans cette autre affaire.
Le directeur du FBI James Comey affirmait que la méthode utilisée sur l’iPhone du tueur de San Bernardino ne fonctionnait pas sur les iPhone 5s et plus récents. La firme à la pomme avait bien le moyen d’accéder facilement aux données de l’iPhone 5s dans la mesure où il tournait encore sous iOS 7.
Pensez-vous qu’Apple parviendra un jour à connaître la méthode de déverrouillage employée par le FBI ?
3 commentaires
Applr va perdre toutes crédibilité si ces iPhones ce déverouille comme ça…
T’as lu au moins?
@Ratchet je ne pense pas :’)
Parce que oui c’est normal que quand on rentre le code l’iPhone s’ouvre…