D’après le directeur du FBI, Christopher Wray, la difficulté voire l’absence de possibilité de récupérer les données sur un smartphone encrypté nuit fortement au bon travail des forces de l’ordre.
Malgré les appareils utilisés par le FBI pour « hacker » les iPhone, comme le Cellebrite que nous retrouvions sur eBay il y a peu, un grand nombre de smartphones resteraient impénétrables.
Cette situation, présente dans le monde entier, « ne peut plus durer« . Il poursuit dans sa lancée en prononçant que protéger la liberté et la confidentialité des utilisateurs n’est pas un motif valable vis-à-vis des criminels qui échappent à la loi grâce à leur smartphone.
Christopher Wray évoque ainsi publiquement au cours de la dernière conférence RSA (San Francisco) que les conséquences du chiffrement des appareils sur les enquêtes en cours peuvent être lourdes.
Cela dit, l’homme en question n’apporte aucune solution : il se contentera lors de son élocution de dire que des solutions existent, sans détailler d’avantage.
Avant Wray, certains avaient proposé un chiffrement raisonné. Cela permettrait d’avoir accès aux données de manière plus facile. La solution était simple sur le papier, mais compliquée à mettre en oeuvre.
Un commentaire
Comment faisaient-ils avant? Dans le maquis par exemple bien qu’il ne s’agissait pas de criminel à proprement parler ??? Donc si les chiffrements tombés et bien les criminels utiliseront autre chose et nous simple citoyens on l’aura dans le cul… alors même si je n’est rien à cacher, le pb n’est pas là…