Alors que le FBI a pour le moment refusé de communiquer à Apple comment l’accès aux données de l’iPhone a été obtenu, une seconde affaire à New York pourrait bien permettre à la société californienne d’en obtenir la démonstration.
En effet, lorsque le FBI a dit ne plus avoir besoin d’Apple, une seconde affaire a été suspendue à New York, où le DOJ invoquait le même All Writs Act pour obtenir le déverrouillage d’un iPhone. Si la procédure se poursuit, Apple serait en droit d’exiger une preuve que la méthode utilisée pour l’iPhone d’un des tueurs de San Bernardino n’a pas fonctionné.
Si le ministère de la Justice affirme que la méthode ne fonctionne pas sur cet iPhone, Apple en demandera une démonstration, et il en sera de même pour toutes les autres revendications du gouvernement, que d’autres méthodes ne peuvent pas être utilisées.
— Apple
Le FBI aurait payé près de 15 000 $ pour obtenir le déverrouillage de l’iPhone par la société israélienne Cellebrite. Le ministère de la Justice a dit qu’il aviserait le tribunal de ses intentions au plus tard le 11 avril.
Pensez-vous que la décision du ministère de la Justice va contraindre le FBI a révéler sa méthode ?
3 commentaires
Cellebrite aurait pu demander plus que ca de déverrouiller l’iPhone. Et le FBI de payer juste un de leur équipement special forensic et d’équiper tout les bureaux du FBI avec un appareil qui vaut 4000€… Le FBI est peut être fort pour résoudre des enquêtes mais pas assez pour flairer des astuces et des bonnes affaires.
@kidkdd Cellebrite aurait certes pu demander + mais ils se sont fais un bon coup de pub à la place.
Ca contraste avec les serie holliwood tous sa mdrr genre dans NCIS quand McGee hack le pentagone avec 3 touche du clavier ??